Samedi dernier, les Béliers de Kemper jouaient leur dernier match de la saison à la salle Michel Gloaguen devant une salle comble ! La SAMBO parrainait la rencontre pour l’occasion.

Nouveau directeur de la SAMBO, Anthony Nahelou, a donné le coup d’envoi de la rencontre en compagnie de Bernard Kervarec et Patrick Tudal, président et vice-président des Béliers ! Il a répondu à nos questions.

• Bonjour Anthony, peux-tu te présenter et nous présenter la SAMBO ?

Je suis Anthony Nahelou, directeur général de la Sambo. J’ai remplacé Patrick Tudal en début d’année 2023. La SAMBO est une société d’assurance mutuelle basée à Quimper. Nous travaillons sur 3 activités : l’assurance corps de navire professionnel (bateaux de pêche artisanale principalement), l’assurance plaisance et la complémentaire santé pour les particuliers et les entreprises de tous secteurs. Cette dernière activité représente d’ailleurs les deux tiers du chiffre d’affaires.

• Qu’est-ce qui vous pousse à être partenaire depuis autant d’années ?

Nous sommes partenaires du club depuis de nombreuses années. Les raisons sont multiples. J’en citerai trois : le sport est un excellent support pour véhiculer l’image de l’entreprise, pour fédérer ses salariés et fidéliser ses clients. Deuxièmement, le sport santé est primordial pour une mutuelle comme la nôtre. Ce partenariat permet d’accentuer notre vision sur ce sujet avec nos adhérents. Enfin, l’ambiance dans la salle, dans le club, avec les autres partenaires, est excellente. C’est un vrai plaisir de venir à chaque match.

• Que penses-tu de la saison de notre équipe ? 

La saison est compliquée sportivement, surtout à l’extérieur. Ce ne doit pas être une situation évidente pour les joueurs, les entraîneurs et la direction que je n’oublie pas. Je note que depuis quelques matches, l’équipe joue mieux et se partage bien la balle, ce qui laisse des motifs d’espoir pour le maintien. Mais quoi qu’il en soit la SAMBO sera toujours un soutien du club.

• Un mot pour nos joueurs ce soir ?

Quand j’étais enfant et que je réussissais quelque chose, ma grand-mère pour m’encourager me disait que j’étais un crack. Je leur souhaite ce soir d’être des cracks. Ils savent que la salle sera derrière eux et que l’on fera du reuz avec eux.